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jean-yves le gallou - Page 61

  • La repentance ? Basta !... Soyons fiers d'être Européens !

    L'Iliade, l'institut pour la longue mémoire européenne, qui organise son colloque annuel le samedi 7 avril 2018 à la Maison de la chimie à Paris, sur le thème "Soyons fiers d'être Européens, a produit pour l'occasion une superbe vidéo que nous vous invitons à découvrir.

    Les inscriptions au colloque sont ouvertes sur le site de l'Iliade.

     

                              

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  • Feu sur la désinformation... (171)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Hervé Grandchamp.

    Au sommaire :

    • 1 : Marche pour la vie, Comment l’AFP vous a désinformé
      « Plus d’un millier d’opposants à l’avortement et à la PMA défilent à Paris » c’est le titre de la dépêche AFP publiée en début de manifestation dimanche 21 janvier. Un chiffre ultra minoré qui ne sera corrigé qu’en début de soirée par une dépêche très tardive. 2 dépêches avec 2 chiffres différents, une forme vicelarde de désinformation, c’est le bobard calculette de l’AFP.
    • 2 : Le Zapping d’I-Média
      Affirmation farfelue sur France Inter de Yann Moix : « il y a parmi les afghans des gens qui connaissent Victor Hugo sur le bout des doigts et qui sont venus en France pour ça, ils arrivent et on les frappe ». Le journaliste a déclaré la guerre au ministère de l’intérieur et dénonce les « actes de barbarie » des policiers à Calais. Sauf que, dans la très grande majorité des cas, les afghans réunis à Calais, ne parlent pas le français mais l’anglais. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle les clandestins désirent passer en Angleterre.

    • 3 : « Fake news awards » Trump tacle les médias menteurs
      Donald Trump remet ses bobards d’or aux médias, CNN remporte la palme de la désinformation. Mais, plutôt que de faire un mea culpa, les journalistes se sont gaussés de cette cérémonie pour éviter d’avoir à aborder les mensonges de journalistes.
    • 4 : Les tweets de la semaine
      Le journal Le Parisien enchaine les titres vicieux : le 18 janvier, le journal titrait « Une mère de famille arrêtée à son retour de Syrie ». Cette « mère de famille » a été arrêtée parce qu’elle est visée pour actes liés avec une entreprise terroriste. Le 23 janvier, Le Parisien titrait, « Éric Zemmour jugé une troisième fois pour ses propos antimusulmans » laissant penser que le journaliste avait une nouvelle fois été condamné. Un titre trompeur puisque, dans les faits, la cour de cassation a cassé et annulé, mardi, la condamnation du journaliste, pour ses déclarations publiées dans le journal le Corriere Della Serra en octobre 2014.
    • 5 : « Appropriation culturelle », la nouvelle propagande qui monte
      « Appropriation culturelle » c’est la nouvelle expression naissante dans les médias. Elle consiste à affirmer « qu’une culture dominante s’approprie les codes esthétiques d’une culture dominée ». Voici venir le nouvel argument pour culpabiliser l’occident.

     

                                           

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  • Pour une préférence de civilisation !...

    Nous reproduisons ci-dessous un entretien donné par Jean-Yves Le Gallou à Monde et vie (n° 949 du 21 décembre 2017) et  cueilli sur Polémia. Il y aborde la question essentielle de la préférence de civilisation...

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    Pour une préférence de civilisation !

    Monde et Vie : Jean-Yves Le Gallou, vous proposez ces derniers temps le concept de « préférence civilisationnelle ». Pourquoi ne pas vous borner à la préférence nationale, dont on a beaucoup parlé ?

    Jean-Yves Le Gallou : La préférence nationale renvoie à un concept juridique qui est le concept de nationalité. C’est la préférence pour les détenteurs de la nationalité. Aujourd’hui, la nationalité est devenue un concept juridique déconnecté du concept identitaire. Résultat ? Beaucoup de Français vont se sentir mieux à Prague, Budapest ou Porto qu’en Seine-Saint-Denis, par exemple. La préférence de civilisation renvoie à une identité culturelle commune et je crois que c’est un ressenti d’autant plus partagé que, justement, l’identité c’est la culture commune. Je vous en donnerai un exemple : nous avons fait, avec Polémia, une vidéo intitulée « Être français », qui a recueilli 1.300.000 vues sur YouTube. Nous avons lancé ensuite, avec l’Institut Iliade, une vidéo intitulée « Être Européen ». L’opinion générale était que l’Europe n’aurait aucun succès et que nous n’atteindrions pas les chiffres de la précédente, que nous ferions trois ou quatre fois moins de vues. En réalité, elle en a fait trois fois plus : 3.750.000 vues, seulement en France. C’est un signe… Qu’est-ce qu’être un Français aujourd’hui ? Mohammed qui voile sa femme est français… La nationalité tend à devenir un concept purement juridique, sans prise sur la réalité.

    Selon vous, le développement des identités régionales en Europe va dans le sens d’une préférence avant tout civilisationnelle ? 

    Le développement des identités locales et régionales représente une double réaction, d’abord contre le jacobinisme niveleur et puis contre le mondialisme. On n’ose pas trop s’affirmer différent de l’immigré, mais on se perçoit différent du pays auquel on est rattaché. En fait, que ce soit en Catalogne ou en Corse, on se trouve devant une des formes du vote identitaire, même si souvent les représentants de cette sensibilité autonomistes ou nationalistes sont politiquement corrects, même si, par exemple, les autonomistes écossais trouvent qu’un Pakistanais qui va à la mosquée d’Édimbourg est un Écossais. On notera que cette idéologie multiculturaliste est moins présente en Corse, où les chefs du Parti se sont affichés solidaires du maire de Sisco qui avait défendu sa population entrée en conflit avec des musulmans et qui a pris un arrêté anti burkini.

    Mais, en Corse, le vote Front national s’effondre. On est passé de quelque 12% à 3% ?

    C’est justement parce que le vote autonomiste est perçu comme le véritable vote identitaire. Le Front national a trop longtemps déserté la question de l’identité. Il n’apparaît plus, non plus, comme un vote protestataire. C’est le vote autonomiste, en Corse, qui apparaît à la fois comme le vote protestataire et comme le vote identitaire. On peut ajouter que la perte de crédibilité de Marine Le Pen, depuis le fameux débat du second tour de la présidentielle, n’est pas pour rien dans l’effondrement, en Corse, du Front national. Sous sa baguette le Front national a voulu devenir un parti classique, un parti comme les autres. Eh bien, en Corse, c’est l’ensemble des partis classiques qui s’effondre et même La République en Marche ne fait que 11% des suffrages au premier tour.

    Vous parlez de préférence civilisationnelle. N’est-ce pas un peu abstrait ? Que contient la préférence civilisationnelle ?

    La civilisation, c’est avant tout une conception du monde. Cette conception européenne du monde est fondée sur l’incarnation et sur la représentation, cela bien sûr dans le christianisme, mais aussi avant le christianisme…

    Incarnation, je comprends… Qu’entendez-vous par représentation ?

    Je ne parle pas ici de la représentation politique démocratique, mais tout simplement de la représentation dans l’art de la figure humaine, et même de la représentation du divin. Dans l’Antiquité gréco-romaine, les dieux, vous le savez, sont à l’image des hommes. Et dans le christianisme, Dieu se fait homme. Cette proximité, cette immanence du divin, voilà ce qui caractérise la culture européenne. Le divin est dans la nature. Les lieux sacrés des païens et des chrétiens sont souvent les mêmes d’ailleurs. Une grande partie de la bataille culturelle, encore aujourd’hui, doit viser cette hérésie chrétienne qu’est l’iconoclasme. Les iconoclastes sont ces hérétiques qui, se revendiquant de la pureté de leur foi, refusent la représentation du Christ et des saints. On trouve ce courant au début du christianisme, mais on le retrouve au XVIe siècle, où les statues de saints ou les fresques venues du Moyen Age sont détruites par les disciples de Calvin. La Révolution française nous donnera à nouveau l’exemple de la vandalisation de la culture et du triomphe de l’abstraction. Aujourd’hui, du point de vue culturel, une organisation comme Daech, en guerre mondiale contre l’Occident, se caractérise aussi comme un mouvement iconoclaste, qui détruit toutes les représentations issues du passé : je pense aux Bouddhas afghans, que ces nouveaux Vandales ont fait exploser à la dynamite. La destruction des Temples à Palmyre procède du même esprit. Il s’agit pour les islamistes d’anéantir une tradition culturelle remontant à l’Antiquité. Ces destructions ont symboliquement plus d’importance souvent que l’incendie de puits de pétrole ou même que des massacres de masse.

    Vous incluez dans cette guerre de civilisation la fameuse question du voile islamique ?

    Plus que d’un morceau de tissu il s’agit de la conception que l’on se fait de la femme et du respect de sa liberté. Les femmes européennes n’ont jamais été encagées dans un harem ou derrière un mur de tissu… L’amour courtois a propagé une conception très respectueuse de la femme. Dans l’Antiquité, il y a des dieux et des déesses. Dans le christianisme, le rôle de la Vierge Marie, que les médiévaux appellent « Notre-Dame », en référence à l’amour courtois, revêt une importance que les chrétiens d’aujourd’hui ont parfois du mal à comprendre. Dans ce contexte culturel, il est normal qu’il y ait une bataille frontale sur la question du voile, interdit dans l’espace public. Comme disait Montesquieu, « les mœurs sont plus importantes que les lois ».

    L’excision, que faut-il faire ?

    Je dirais surtout ce qu’il ne faut pas faire : donner à une jeune femme malienne le statut de réfugiée politique en France pour qu’elle ne soit pas excisée dans son pays et la laisser ensuite subir cet acte monstrueux dans notre pays…

    Comment s’insère la laïcité dans votre combat civilisationnel ?

    La civilisation européenne se caractérise par la liberté des débats, par la libre confrontation des idées. Quant à la laïcité elle-même, son interprétation laïciste actuelle me paraît artificielle et, pour tout dire, franco-française. Ce qui est important – la fameuse querelle des guelfes et des gibelins en porte la trace au cœur du Moyen Age – c’est la séparation du domaine politique et du domaine religieux. Mais il n’y a pas besoin du laïcisme pour cela. Quand on y réfléchit, il y a quelque chose d’ahurissant : le Conseil d’État valide la construction de mosquées avec leurs minarets, il valide le hallal, l’abattage de l’Aïd et le port du burkini, mais il interdit que la sculpture d’un pape soit accompagnée d’une croix. Cette décision est clairement liberticide. C’est la raison pour laquelle j’ai manifesté devant le Conseil d’État, le 12 décembre, contre l’arrêt rendu concernant la croix de Ploërmel ; je veux parler de cette statue de Jean Paul II que le laïcisme ambiant entend priver de sa croix.

    Que préconisez-vous concrètement ?

    Il est urgent de lutter contre la banalisation de ce genre de décision ubuesque, selon laquelle il faudrait mutiler une œuvre d’art au nom de l’idéologie. Concevoir la statue du pape sans la croix qui le surplombe, c’est une atteinte à la liberté de création, c’est encore une forme de ce vandalisme dont je vous parlais tout à l’heure. Il faut dénoncer les vrais responsables de ces dérives immigrationnistes et anti-identitaires. Ce ne sont pas les politiques en premier lieu…

    Qui est responsable ? 

    Nous subissons le pouvoir des juges, c’est clair. Comment s’exerce-t-il ? Ils prennent des textes juridiques généraux et ils les interprètent de façon liberticide. Aujourd’hui ni la liberté de réunion, ni la liberté d’expression, ni la liberté des collectivités locales ne sont garanties… Les maires qui ne veulent pas de burkini sur les plages de leur ville sont contraints de rapporter leurs décisions ; on oblige les édiles à distribuer des repas hallal dans les cantines municipales, et, pour y parvenir, on se targue d’une interprétation de grands principes abstraits comme la liberté d’aller et de venir ou la liberté religieuse. Quand je parle du pouvoir des juges, il s’agit de quatre ou cinq personnes – Jean-Marc Sauvé, Bernard Stirn, Remi Schwartz ou Thierry Thuot – qui adossent leur idéologie laïciste, maçonnique ou chrétienne progressiste sur les médias du Politiquement correct. Ils font régner la terreur et imposent des réponses négatives pour tout ce qui est chrétien et évidemment pas pour les musulmans.

    A quand faites vous remonter ce terrorisme des juges ?

    Le Conseil d’État était culturellement et idéologiquement conservateur. Il a basculé dans l’immigrationnisme au début des années 1970, sous la pression du GISTI (Groupe d’information et de soutien des travailleurs immigrés). La prise de pouvoir du Conseil d’État sur les questions d’identité date précisément de 1978, date à laquelle on a assisté à l’invalidation du décret Bonnet, qui interdisait le regroupement familial. Une telle mise à la casse s’est opérée par le biais de l’interprétation de la Convention internationale sur les droits de l’enfant, qui n’avait absolument pas été formulée pour répondre à une telle situation.

    Que pouvons-nous faire aujourd’hui ?

    Le problème central aujourd’hui, du point de vue civilisationnel, ce n’est pas l’Union européenne, ce n’est pas le pouvoir politique, c’est le pouvoir des juges. Aujourd’hui, les seuls qui aient une influence, ce sont les minorités ethniques, sexuelles ou religieuses. Il faut nous constituer, sur tel ou tel sujet de société, en minorités agissantes ; face aux autres, il faut que les nôtres, qui constituent la majorité silencieuse, s’organisent en groupes de pression, pour défendre notre identité, nos mœurs, nos modes alimentaires, notre histoire… Le récit national est un enjeu qui concerne tout le monde et que nous devons préserver et faire connaître.

    Jean-Yves Le Gallou, propos recueillis par Claire Thomas pour Monde et Vie (Polémia, 13 décembre 2017)

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  • Feu sur la désinformation... (169)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Hervé Grandchamp.

    Au sommaire :

    • 1 : Complotisme, a-t-on le droit de douter ?
      « 79% des français croient à au moins une théorie complotiste ». Après les « fake news », les théories du complot se retrouvent sous la lumière ! « C’est le côté obscur de la France ». Le complot, un mot fourre-tout englobant le grand remplacement, mais aussi la théorie de la terre plate.
    • 2 : Le Zapping d’I-Média
      Le « migrant mineur isolé » a 55 ans ! Témoignage sur RMC de Rémy, famille d’accueil pour migrants isolés. En 1 an Rémy a accueilli une dizaine de migrants, pas un seul n’était mineur. Mieux Rémy a eu affaire à un malien d’environ 55 ans. Sur les papiers le malien déclarait avoir 16 ans !

    • 3 : CSA : La chasse aux Blancs est ouverte
      Jeudi 04 janvier le Conseil supérieur de l’audiovisuel publie son baromètre sur la question de la « diversité ». « La télévision représente toujours mal les non blancs ». Scandale dans les médias les blancs sont « encore largement majoritaires ». Le CSA ouvre une chasse à l’homme blanc sous prétexte de « diversité » et institue une politique ouvertement raciste.
    • 4 : Les tweets de la semaine
      Marche en avant de la censure grâce aux entreprises privées : Sur Facebook, le clip de la marche pour la vie est signalé comme « possiblement malveillant », En Angleterre l’entreprise Virgin a décidé de ne plus distribuer « Le Daily Mail » dans ses trains car le journal est jugé comme pas assez favorable à l’immigration.
    • 5 : Dictature féministe, une seule ligne possible !
      Stop à la haine contre les hommes !!! Un collectif de 100 femmes revendique la liberté d’être importunée, « draguer c’est la liberté d’exprimer son désir sexuel ». Émoi chez les journalistes, des femmes ont osés exprimer un avis différent de la doxa féministe. Leur avis est dangereux c’est une gifle pour les femmes. Pour les médias il temps de les faire taire.

     

                                               

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  • Feu sur la désinformation... (167)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Hervé Grandchamp.

    Au sommaire :

    • 1 : Tex, blackface, Miss France, les médias ne sont plus Charlie
      Peut-on rire de tout ? Une nouvelle norme médiatique est apparue chez les journalistes... Le rire doit servir le « vivre ensemble ». Censure contre le « sexisme » ou le « racisme »... tous les prétextes sont bons et les réseaux sociaux ainsi que les médias veillent au bon respect de ces règles. En une semaine, trois personnalités en ont fait les frais: l’animateur Tex, Miss France 2018 et le footballeur Antoine Griezmann.
    • 2 : Le Zapping d’I-Média
      Salhia Brakhlia diffuse un reportage sur les coulisses d’une conférence de presse de Poutine. La journaliste de BFMTV y dénonce la connivence entre la presse russe et les journalistes qui n’hésitent pas à déclarer devant la caméra leur intention de voter pour Vladimir Poutine lors de la prochaine présidentielle. Pourtant, en 2017, lors de la présidentielle française, beaucoup de journalistes ont appelé à voter pour Emmanuel Macron.

    • 3 : Journée internationale des migrants : ouvrez vos cœurs et vos frontières !
      18 décembre 2017 rime avec journée internationale des migrants. C’est l’occasion pour les journaux et les chaines d’information en continue de propager, une nouvelle fois, un discours immigrationniste. A cette occasion, France 2 a diffusé une séquence lacrymale pour les clandestins qui traversent les Alpes, alors qu’Euronews couvrait une manifestation réunissant une petite centaine de personnes. Toutes les excuses sont bonnes pour parler des « migrants ».
    • 4 : Les tweets de la semaine
      Les réseaux sociaux sont-ils morts ? La nouvelle charte de Twitter, entrée en vigueur le 18 décembre, a déjà fait ses premières victimes. Parmi elles, le compte de Génération Identitaire. Pour donner satisfaction à certaines associations, utilisateurs ou Etats, le réseau social a renforcé son contrôle sur les contenus déclarés comme « haineux ». Mais la fermeture du compte se fait de manière unilatérale, sur délation et sans possibilité de se défendre. Des mesures qui ressemblent furieusement à de la censure. Et à la pire des censures: la censure préalable.
    • 5 : Le français, cette langue arabe...
      Mardi 18 décembre, journée mondiale de la langue arabe. A cette occasion les médias se plongent dans l’origine de la langue française pour nous apprendre que le français contient plus de mots arabes que de mots gaulois…. Des mots arabes pas si arabes.

     

                                       

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  • Le Front national peut-il arriver au pouvoir ?...

    Le nouveau numéro de la revue Réfléchir & agir (n°57 - automne 2017) est disponible en kiosque. Le dossier est consacré au Front national et s'interroge sur la capacité de ce mouvement politique d'arriver un jour au pouvoir après son échec du printemps 2017.

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    Au sommaire :

    Tour d'horizon

    Antipasti

    Zbigniew Brzezinski, par Edouard rix

    DOSSIER : Le FN peut-il prendre le pouvoir ?

    Le Front National peut-il prendre le pouvoir ? , par Eugène Krampon

    Entretien avec Stéphane Ravier

    Entretien avec Jean-Yves Le Gallou

    Entretien avec David Rachline

    Le FN face à son destin, par Eric Lerouge

    Entretien avec Chantal Dounot et Didier Carette

    Après le Front, par Georges Feltin-Tracol

    Grand entretien

    Eric Lerouge

    Réflexion

    Hermann von Keyserling, par Bruno Favrit

    Géopolitique

    Le réchauffement climatique en Arctique, par Klaas Malan

    Mystères

    L'affaire Glozel, par Thierry Durolle

    Littérature

    Maurice Blanchot, par Georges Feltin-Tracol

    Un livre est un fusil

    Youcef Hindi. Occident contre Islam, par Eugène Krampon

    Notes de lecture

    Beaux-arts

    Norman Lindsay, par Christian Bouchet

    Disques

     

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